Nos 3 règles d’or pour réussir vos e-mails – 2/3
Avec des milliers d’e-mails crées et envoyés, chez Adrénaline, on sait de quoi on parle : après vous avoir indiqué les points de vigilance sur la conception des e-mails, nous allons voir maintenant comment éviter les pièges de l’intégration;)
Deuxième étape : intégrer et tester sans faire d’erreur
Disons-le tout net, aucun des éditeurs d’e-mail que nous avons essayés ne nous a convaincus. Ils montrent très vite leurs limites. Or, l’intégration d’un e-mail, c’est un exercice délicat, presque sur-mesure. Il faut souvent utiliser des hacks pour contourner les problèmes.
Un exemple : pour éviter l’apparition de lignes blanches avant et après les images dans le rendu des e-mails sur Gmail, il est nécessaire de taper l’instruction directement dans le code. Autrement dit, vous avez besoin d’un bon intégrateur, capable de se plier à tous les cas de figure 😉
Et les cas de figure sont nombreux : taille de l’écran, logiciel de messageries dekstop ou webmails, natifs mobile, environnement Androïd ou IOS… Autant de contraintes à prendre en compte.
D’où l’importance des tests, qui vous permettent de vérifier le rendu de votre e-mail pour chaque version. Pour cela, faites appel à une plateforme spécialisée. Chez Adrénaline, nous travaillons avec Email on Acid, vous pouvez aussi choisir Litmus. Ces solutions sont des outils incontournables pour garantir la qualité de vos e-mails.
Votre e-mail est prêt à être routé… mais va-t-on le lire ? Il reste à optimiser son taux ouverture. C’est l’objectif de la phase 3 !
Pour rappel, voici les 3 étapes de la fabrication d’un e-mail efficace :
- Première étape : une construction aux petits oignons
- Deuxième étape : intégrer et tester sans faire d’erreur
- Troisième étape : faire ouvrir