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Marketing trend

Le snack content met les bouchées doubles

10 janvier 2020
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Applis, réseaux sociaux, newsletters, media en ligne, stories… Les consommateurs croulent sous les contenus éditoriaux. Une étude de juin 2017 (1) montre que seules 1,2% des vidéos postées sur Facebook deviennent virales (avec un seuil de viralité fixé à millions de vues). A l’heure de l’infobésité, comment réussir encore à se démarquer et à attirer l’attention ?

Mais c’est quoi, le snack content ?

C’est de cette volonté de (re)captiver les internautes qu’est né le snack content (histoire de filer la métaphore alimentaire), ou micro-contenu : des contenus « frais », courts (300 mots ou 10 secondes max), tour à tour incisifs, drôles, décalés ou émotionnels, à consommer rapidement dans les transports en commun ou entre deux réunions.
Pour des exemples emblématiques, on peut citer Bref, Topito, les trailers… et bien sûr Twitter (140 signes puis 280 signes maximum) et Instagram (avec des stories de quelques secondes) !

Le snack content en 5 points forts :

  • Ses formats (gif, vidéo, timelapses, dessins, citations, topos, infographies…) sont bien adaptés aux réseaux sociaux et à la consultation sur mobile ;
  • C’est une approche « zapping » qui contourne la baisse d’attention généralisée des consommateurs ;
  • Il permet à une marque de publier plus souvent et plus rapidement, pour multiplier les interactions avec ses cibles ;
  • C’est une star du marketing viral, avec des contenus fréquemment likés, relayés et partagés ;
  • C’est bon pour le référencement : les algorithmes des moteurs de recherche, Google en tête, adorent les contenus qui se renouvellent.

L’impact, condition sine qua non du snack content :

Les micro-contenus sont des boosters de visibilité pour une marque. À condition que ce soient des contenus à valeur ajoutée. On ne le dira jamais assez : la pertinence et la qualité sont les piliers d’une bonne communication.

Or, à force de privilégier la quantité, on risque fort de publier des contenus superficiels, creux, inutiles (le « junk content » eh oui, la métaphore continue) et donc de créer l’effet inverse à celui désiré : détacher les consommateurs d’une marque, lassés par la vacuité de sa communication.

Contrairement aux apparences, le snack content n’est donc pas un exercice facile. Certains acteurs du social marketing se sont d’ailleurs spécialisés dans la création de ces micro contenus pertinents et percutants, avec un volet tracking très fin, qui permet notamment d’optimiser les formats selon le media et le device, pour maximiser la performance des publications.

Conclusion :

En fait, le snack content, c’est un super apéritif, mais ça ne suffit pas à rassasier les clients (et on s’arrêtera là pour les comparaisons alimentaires;) !

Il s’agit d’un moyen très efficace d’attirer l’attention sur une marque et de créer le buzz, pour, notamment renvoyer les consommateurs vers des contenus plus longs et plus consistants, dans lesquels le discours de marque peut se déployer pleinement : le snack content prend tout son sens quand il est intégré dans une stratégie éditoriale cohérente.

Le snack content vous intéresse ? On en parle quand vous voulez 😉

(1) https://www.huffingtonpost.co.uk/dror-ginzberg/only-1-of-facebook-video-_b_16920512.html

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